Voie privée, fermée par des barrières automatiques. Donnant entre le 32 et le 32 bis, boulevard d’Argenson, elle permet aux piétons de joindre le 109, Rue Perronet. Cette voie traverse le lotissement composé de maisons et d'hôtels particuliers avec de petits jardins
Selon un procès-verbal du 15 novembre 1854, « il a été vendu et adjugé 5 520 m2 qui formaient les lots 162 et 163 du lotissement général de l'ancien parc de Neuilly à Antoine Philippe Le Boucher, propriétaire au 41, Vieille Route à Neuilly, agissant pour le compte de la communauté de biens, avec sa femme Eulalie Madeleine Blouzon à défaut de contrat de mariage, selon le mariage du 6 octobre 1832, à Paris, Xe. Cette adjudication a eu lieu selon diverses conditions particulières concernant la viabilité de l'avenue, qui allait s'appeler Céline, prénom de la fille des Le Boucher. Aux termes du contrat de mariage de François Pierre Leroux, répétiteur adjoint à l'École polytechnique et Marie Céline Le Boucher, reçu par Me Acloque, le 10 septembre 1885, contenant adoption du régime de la communauté, les parents ont constitué en dot, à leur fille, future épouse, le terrain de 5 520 mètres carrés estimé à 34 000 francs, cette estimation est stipulée valoir vente à la communauté. » (Extrait de l'Historique de l'avenue Céline, par Pierre Magnien le 28 mars 1980.)